Points saillants :
• Tendance à la stabilisation démographique au niveau des camps de Ras Jedir, dont 40% sont
des migrants non rapatriables.
• Arrivée brutale de réfugiés par Dhibat entrainant, jusqu’à ce jour, une augmentation de près
de 20% de la population du gouvernorat de Tataouine. Cette situation tend à s’accentuer.
• Impact négatif sur le système sanitaire public dans les deux gouvernorats du sud-est tunisien
sans compter celui dans le reste des régions du pays.
• Faiblesse de l’appui espéré des organisations internationales au système de santé tunisien
déjà souffrant bien avant la crise libyenne.