Sur l'ensemble du territoire national tchadien, la province du Lac reste la plus affectée par les restrictions d'accès selon les organisations huma- nitaires œuvrant sur le terrain, suivie par le Ouaddaï, le Wadi Fira et la capitale, N’Djamena. Des restructurations au sein des groupes armés non-étatiques (GANE) dans la sous-région pourraient également avoir un impact sur l'accès humanitaire et la protection des civils. L'accès humanitaire demeure donc une priorité pour les organisations œuvrant sur le terrain. Par ailleurs, le degré de sévérité des contraintes rapporté est différent et dépend du type d’organisation, car les ONG sont exposées à des défis différents de ceux des agences des Nations Unies.
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